« Il me faut maintenant épier la beauté comme jusqu’alors
personne ne l’a épiée. »
Chant quatre, Feu pâle, de Nabokov
Carnet d'Alain François / since 1999 / photos, livres, arts, humeurs
Publié le 1 mai 2009
« Il me faut maintenant épier la beauté comme jusqu’alors
personne ne l’a épiée. »
Chant quatre, Feu pâle, de Nabokov