littérature

Blade Runner 40′

Blade Runner 40′

Revu Blade Runner, l’original, dans la version… heu… je sais pas trop. Wikipédia dit qu’il en  existe 8 versions ! 8 ? Pourquoi ? Haaaaaa ! c’était donc l’un des premiers films « produits marketing », dont les versions ont été testées sur un public choisi avant diffusion ! Avec ensuite, pour vendre, revendre, rerevendre, la pseudo polémique sur la version du Continue reading Blade Runner 40′

Le point éclairant

Le point éclairant

Un dimanche, partir du Point aveugle de Javier Cercas, chercher le cadre de la citation de Gorgias dans Plutarque (et j’aime Plutarque. Toujours agréable d’y revenir), s’intéresser au premier roman picaresque (dit « premier roman » chez Cercas, mais laissons-lui), découvrir La Vie de Lazarillo de Tormes, le télécharger en diverses versions et se promettre de s’y perdre Continue reading Le point éclairant

Autour de la robe de mariée de Marguerite Sirvins

Autour de la robe de mariée de Marguerite Sirvins

Autour et sur « La robe de Mariée », texte de Katherine L. Battaiellie, aux éditions Marguerite Waknine J’ai encore lu un cahier des éditions Waknine. Pourtant, ma liste de lecture est toujours aussi longue, et dernièrement, je retrouve ma vieille manie des « livres en chantier ». Mais voilà, ces petits cahiers m’attirent. En particulier les textes rares qu’ils Continue reading Autour de la robe de mariée de Marguerite Sirvins

Portrait : Frank

Portrait : Frank

J’ai enfin rencontré Frank (pseudo de « Frank Reichert »), scénariste de BD puissant, écrivain, traducteur de polar, qui a écrit de nombreux scénarios très noirs (et très drôles) pour Golo pendant une grosse décennie (à partir de 1978 et « ballades pour un voyou« ). Mais aussi pour Baudoin, entre autre… Pas de wikimachin, mais deux entrées sur Continue reading Portrait : Frank

Tirade (sur « Juste Ciel » d’Éric Chevillard)

Tirade (sur « Juste Ciel » d’Éric Chevillard)

Je crois que j’aurai aimé, comme le moindre « mort » de « Juste Ciel » d’Éric Chevillard, avoir parfois ce genre de réparti, pour remplacer, éviter, et fuir même, des dialogues incohérents, maladifs, insensés, mortifères, psychomécaniques, attendues, à l’issu si écrite qu’on préférerait s’arracher la langue plutôt que les avoir prononcé, plutôt qu’y avoir joué et perdu d’avance, Continue reading Tirade (sur « Juste Ciel » d’Éric Chevillard)

Tu veux te soigner de tes petites misères ?

Tu veux te soigner de tes petites misères ?

Passe par « à vau-l’eau » de Huysmans. C’est libre, donc gratos, et c’est un dépuratif, pour utiliser un terme dans le ton, des humeurs contemporaines si promptes à oublier la condition, la notre, et se souvenir qu’on s’en sort pas si mal. Et son fonctionnaire dépressif annonce des littératures du XXe siècle, et Bartleby… Au passage, noter Continue reading Tu veux te soigner de tes petites misères ?

L’Album primo-avrilesque toute l’année

L’Album primo-avrilesque toute l’année

Avant d’oublier, noter que l’historique et problématique « Album primo-avrilesque » d’Alphonse Allais (éditions 1897) est en ligne sur Gallica : « Problématique », car il pose la question de la réévaluation a posteriori d’œuvres, et même d’objets plus où moins volontaires, que l’Histoire dévoie de leur finalité première (le rire, ici) pour les intégrer dans un récit aussi Continue reading L’Album primo-avrilesque toute l’année

Dans le con d’Irène

Dans le con d’Irène

Je suis chagriné, presque honteux de n’avoir lu « le con d’Irène » de Louis Aragon que maintenant. Surtout que ce con-là, j’ai l’impression de le connaître depuis toujours (et je pensais même l’avoir déjà dans ma bibliothèque). Non, et jamais lu. Pourquoi ? Pas croisé. Pas croisé, simplement. Aucune importance, l’injustice est réparée, et peut-être est-ce mieux, Continue reading Dans le con d’Irène

En attendant

Quoi ? Je ne sais pas, mais j’ai repris mes lectures du petit déjeuner. Certains écoutent la radio. Je ne sais pas faire ça. Et je lis « Le Tramway », de Claude Simon, avec un certain… soulagement. Je sens bien comme je n’ose avouer, par sympathie pour l’écrivain, comme j’ai été contrit par ma lecture des trois Continue reading En attendant

Vivre aux frontières du cône de frottement

« le monde n’est qu’une bransloire perenne ; toutes choses y branslent sans cesse, la terre, les rochiers du Caucase, les pyramides d’Aegypte, et du bransle publicque et du leur ; la constance mesme n’est aultre chose qu’un bransle plus languissant. » Le plus beau cerveau de par mes contrées ne pouvait imaginer que ce « pérenne » deviendrait douteux. J’ai Continue reading Vivre aux frontières du cône de frottement