Marie Shelley

Publié le 26 avril 2013

Je lisais le fantastique du XIXe en long et en large. J’avais un goût pour ces textes-là.  J’aimais imaginer Marie Shelley, en villégiature sur les bords du Lac Léman avec Lord Byron, égayant leurs longues et ennuyeuses soirées en tentant de s’effrayer. Et un soir, cette invention géniale, fulgurance, du monstre composite, parcelles de chairs mortes, auxquelles un influx neuf vient offrir cohérence et vie.

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