Dans le matin, dans la fin de la nuit

Publié le 13 décembre 2017

Une vision du monde humain comme une monstrueuse pelote de fils emmêlés, et moi, à côté (pas dedans, tiens ?), minuscule pelote de fils tout aussi emmêlés…

Impression qu’on ne s’en sortira pas, et que, minuscule laboratoire, je ne m’en sortirais pas plus et n’en trouverais plus le bout.

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