Ce moment là, juste là, où on a l’impression peut-être éphémère, peut-être illusoire, de reprendre le fil, et d’avoir enfin retrouvé cet endroit d’où l’on sourit de tout, de tous.
Ce moment-là.
Celui-ci, ou vos vies, vos souffrances, vos nœuds sales, n’ont plus aucune importance, ou la mienne ne vaut que par son ironie, ou il est évident que je suis ici pour ça, pour me moquer de vous.
De ces moments.
De ces moments qui m’appartiennent, dans lesquels vous me traversez, tous, sans me faire souffrir, comme rien,
Fluide.