L’erreur est toujours de confondre son déclin physique avec le potentiel déclin collectif… Ou ses névroses avec…, comme dit Olivier à propos de nos idiots d’écrivains.
Et je garde vissé, grâce à mes anciennes lectures anciennes, ce sentiment de la permanence de notre connerie.
Mais il serait bien narcissique de croire que rien ne se passe juste parce que l’humanité ne sort jamais de sa barbarie et que je ne devrais confondre mes douleurs articulaires avec la dislocation générale.
Il se passe des choses, et des choses meurent.
Il faut juste se garder d’imaginer pouvoir correctement les raconter tant qu’on a les pieds dedans.