Glissement brusque des amis d’enfance cachant mal leurs maladives jalousies et leurs haines croisées derrière un pseudo-intellectualisme d’époque au portrait d’un serial killer, qui aujourd’hui, nous semble malheureusement bien familier.
Où le projet Musil prend forme et sens : une observation cruelle, mais dépassionnée du monstre humanité.
Le texte lui-même est assez monstrueux, comme l’esprit nécessaire à un tel projet d’écriture. Continuons.
Je crois que j’aime ce livre, malgré ses horripilants personnages. Musil est cruel, et c’est amusant. Évidement que j’aime ce livre ! je vois bien que je m’enfonce dans sa lecture comme dans du beurre laissé trop longtemps hors du frigo. Allez, entamons la 2e partie avec curiosité !