Ha Jano, Jano, Jano ! Toi qui ne vivais « que » sur le demi-million d’euros que ta belle mère te donnait chaque mois, comme on compatit, comme on comprend qu’à ce train minable, misérable, rampant, honteux, on puisse lorgner sur l’héritage entier !
Jano
Publié le 4 octobre 2017