Oui, ici, je poste quelques photos, quelques portraits pas assez, avec retard, et c’est une manière de me dispenser d’écrire, je suppose. Et je n’écris plus, donc, mais ni ici ni ailleurs, et me voilà avec trois préfaces de retard, et aucune participation textuelle (autre que les épuisantes transcriptions des entretiens) à l’étude sociologique en cours… Et alors, il va falloir y retourner, à l’écriture, tu le sais, mec !
La vérité, c’est que j’ai toujours aussi peur. c’est toujours cette même eau noire qui m’aspire et dont je pourrais ne plus revenir.