Denis Bourgeois m’écrit : “Je me dis que ma gueule reflète mon état d’avancement vers la béatitude, et donc je me dis que j’ai encore beaucoup de chemin à parcourir, mais, si je m’en réfère à la fin du livre V de l’Ethique de Spinoza, la béatitude c’est le chemin vers la béatitude, du coup, je peux aussi me dire que tout va bien… »