Les observations psycho / physio de Robert Musil m’intéressent peu. C’est surtout un très grand sociologue, qui me venge souvent de quelques observations personnelles.
Sinon ? Sinon est-il misogyne ? Pas plus que son époque entière, peut-être, mais pour l’instant les personnages féminins, entre singerie et mimétisme, ne peuvent espérer autre chose que d’être l’écho d’un esprit mâle.
Au hasard, je suis retombé sur « Les désarrois de l’élève Törless », que j’avais dû lire il y a longtemps, sans qu’il m’en reste un souvenir. En le feuilletant, je n’y retrouve pas ce qui me plaît dans « L’homme sans qualité ». Pourtant, vérification, c’est le même traducteur : Philippe Jaccottet. Pour dédouaner…
Non, je crois que ce qui me plaît, c’est bien la méchanceté et la mauvaise foi de ce « dernier texte ».