Quand on achète l’esthétique de sa vie au lieu de la fabriquer, c’est toc, superficiel, vulgaire… Ce pour quoi les riches fantasment toujours sur les artistes.
Pensée du matin
Publié le 21 août 2015
Carnet d'Alain François — ISSN 2823-8141 — 1999-2024 photos, livres, arts, humeurs
Publié le 21 août 2015
Quand on achète l’esthétique de sa vie au lieu de la fabriquer, c’est toc, superficiel, vulgaire… Ce pour quoi les riches fantasment toujours sur les artistes.