Hier, Mai Li Bernard m’a prêté « Prisonnier des Amazones », un petit livre de Boris Hurtel, chez The Hoochie Coochi, parce qu’en le feuilletant chez elle je lance « mais c’est trop mignon ça ! Tiens, je devrais un jour faire quelque chose sur les influences des bois de Kirchner sur la BD contemporaine ! »
Oui, bon, on verra… En attendant j’ai lu « Prisonnier des Amazones », et sous une jaquette très laide (pourquoi ?) se cache un très joli petit livre rouge (c’est volontaire), dont l’unique défaut est d’être imprimé sur de la carte (pourquoi ?) et donc d’être assez difficile à ouvrir.)
Et c’est bien dommage, oui, parce que c’est en effet mignon à souhait, lisible, fluide et drôle sans être idiot (parce que ça se fait souvent), alors ça vaut le coup de forcer un peu pour l’ouvrir…
Peut-être que je me suis arrêté sur le titre à cause de l’écho au vieux « Prisonnière de l’armée rouge » de Slocombe, mais j’ai bien fait. Lecture plaisante et auteur à suivre, donc, et je tenterais de croiser « contes névrotiques », son livre suivant.
(j’allais oublier de noter le lien hypertexte avec B. Traven évoqué et inspirateur