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Publié le 14 juin 2015

Trouver les mots. Je dis souvent, maintenant, qu’il n’y a plus jamais de « syndrome de la page blanche » pour moi. Je peux me poser, n’importe où, n’importe quand, et écrire. Ceci ne garantit pas que je serais content du résultat. Mais le fait est là. Après les étranges expériences d’écriture en ligne de la dernière décennie, le problème n’est plus jamais “quoi écrire. Plus jamais, mais “comment”.

Les problèmes qui restent

— Mon inconstance qui fait que parfois mon écriture est d’une lourdeur et d’une maladresse terrifiante

— Ma psychologie qui me fait vivre des états variables, comme le temps, qui influence directement mon écriture, ma capacité à écrire, et l’humeur de celle-ci

— L’acuité lexicale, où mon énergie brute, ma capacité de concentration qui me permet d’inscrire le mot le plus juste pour écrire ce que je veux écrire, quand je veux écrire quelque chose, car quand ça roule, c’est écriture qui pense et pas le contraire.

— Un facteur exogène dont je suis psychiquement dépendant.

— et peut-être le pire : ce profond sentiment de vacuité qui ne me quitte jamais et qui pourrait me rendre toute chose vaine.

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