Notre vie est comme ça, ponctuée de petite cérémonie personnelle. C’est une chose fascinante, ces manières secrètes qu’on a de négocier avec notre cartésianisme, avec nos pieds ancrés dans le sol, et même ceux qui ne sont pas superstitieux ont au moins celle qui consiste à avoir peur de l’être. Autant s’y abandonner, puisque nos petites têtes n’y résistent pas.
À chaque fois qu’il pleut le jeudi, je suis triste…
Publié le 4 avril 2013