L’exhumation des vieilleries de fond de placard a de drôles de conséquences. Parmi elles, celle-ci : chaque matin, une petite séance de tri de mes archives textuelles du milieu des années 90… ça se présente ainsi :
Un monceau de feuilles volantes, datées quand j’étais pas trop con, majoritairement illisibles, présentant des textes hors propos, hors tout, considérations diverses et beaucoup, beaucoup de lettres d’amour. Et du journal, un peu, de temps en temps. Lorsque c’est lisible et daté, je tente de transcrire et de publier, pour ensuite faire ça avec :
Et je dois avouer que ça me fait un bien fou, de jeter ces saletés ! Rien à foutre du fétichisme du manuscrit ! Et puis j’ai trouvé une manière extrêmement simple et évidente de les insérer ici… (pas de lien. Une toute petite énigme)