Étrange. Je me souviens peu de mes rêves. Mais, peut-être conséquence de l’effondrement personnel de jeudi après midi, cette nuit était une fin : j’étais dans une ville comme la mienne ou comme Poitiers, en coteaux parallèles. Je suis sur un axe qui passe d’un coteau à l’autre, loin du centre-ville, et brusquement la ville disparaît dans un nuage blanc gris, les gens se mettent à crier et courir vers moi, me dépasser sans me voir et s’éloigner vainement. Je reste immobile à regarder ça, et c’est à peu près tout. Ensuite, le rêve se rétrécit à des enjeux personnels de plus en plus minables jusqu’à la frustration finale quand je n’arrive pas à écrire un SMS…