il faut bien aussi qu’il y ait dans le monde des gens qui regardent
Pendant mon court séjour à l’hôpital, j’ai lu le jour et la nuit avec une certaine obstination, tentant ainsi de négocier les attentes et les insomnies. Le jour, je relisais « Le réel et son double » de Clément Rosset, et la nuit, « Les enfants Tanner » de Robert Walser sur l’écran de mon téléphone réglé sur fond … Continue reading il faut bien aussi qu’il y ait dans le monde des gens qui regardent