Depuis toujours, je suis pour le droit à l’indifférence. Ce droit a toutes les vertus : il assure la paix sociale et désamorce les provocations.
(le problème étant la polysémie de « l’indifférence »)
(le problème étant celui de réduire un phénomène complexe à un aphorisme)
(le problème étant que parfois on peut avoir tord, qu’on soit pour où contre un truc à la con)
(le problème étant qu’on a beau brasser la merde de l’actu dans tous les sens, ça reste de la merde)