« Je dois donner une forme à ce qui me brûle ». Toujours, pour ne pas me consumer.
Je ne pensais pas trouver un tel champ esthétique dans la pratique de mon père. Ceci, cette chose-là lui appartenait. Pour ma part, je n’y voyais rien, plus rien qu’une chose morte, un grand désert stérile. Une Histoire comme il y en a tant.
Je me trompais. Je découvre un champ immense, aussi large que profond, mais aussi dialectique, et par là démultiplié. Un territoire vierge pour moi, dont chaque parcelle reste à explorer.
Une extraordinaire et excitante marge de progression. Un espace ouvert vers le haut, comme le ciel, qui n’accepte qu’ascension…
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