En guise de titre, un aphorisme — presque un haïku — que j’avais publié le 26 aout 2009 sur mon blog d’alors. Aujourd’hui, peut-être devrais-je le compléter, ou l’actualiser.
Cette partie de ma vie reste encore occulte, non inscrite, non exprimée, alors que j’aurais juré qu’à une telle date — cet aujourd’hui provisoire — je serais libre enfin.
J’étouffe et je m’affole de ne pas retrouver mon souffle dans cet air raréfié.