Comme ceux-là qui jouent avec le code de la mouche drosophile lui faisant pousser des pattes en place des mandibules ou encore lui créant sur le dos une paire d’ailes surnuméraires, je joue de mon propre code génétique pour m’inventer une anatomie improbable.
C’est le musée imaginaire de mes possibles formes.
• Banques d’organes ?
• Sculptures biologiques ?
• Monstres ?
Voilà des images de moi, narcisse scientiste, me prêtant aux manipulations d’un généticien adepte d’un futur cubisme biologique…
[ Ce diaporama de petites vignettes est tout ce qui reste de ce travail de bidouillage photo dans Photoshop après un crash disque qui a détruit les fichiers sources ]