En glissant le long du paysage, les arbres se perdant dans l’atmosphère fermée de l’automne, je me suis souvenu que j’avais beaucoup aimé Corot.
Et je me rendais compte, enfin, que je l’aimais encore.
Carnet d'Alain François — ISSN 2823-8141 — 1999-2024 photos, livres, arts, humeurs
Publié le 17 novembre 2016
En glissant le long du paysage, les arbres se perdant dans l’atmosphère fermée de l’automne, je me suis souvenu que j’avais beaucoup aimé Corot.
Et je me rendais compte, enfin, que je l’aimais encore.