Le ciel était plat, laid, sans forme et la lumière exsangue. Je trainais la patte, sans retrouver le sourire. Et puis, parce que tous les chagrins s’épuisent, comme tout, des matins légers, enfin. Et la possibilité retrouvée, enfin, de relever la tête. Et enfin, enfin, enfin, l’envie de déconner à donf !
L’esprit [presque] léger
Publié le 23 décembre 2013