Nerval

Publié le 18 août 2009

« Qu’ils sont heureux les Anglais de pouvoir écrire et lire des chapitres d’observation dénués de tout alliage d’invention romanesque ! A paris, on demanderait que cela fût semé d’anecdotes et d’histoires sentimentales, — se terminant soit par une mort, soit par un mariage. L’intelligence réaliste de nos voisins se contente du vrai absolu. »

Les nuits d’octobre, Gérard De Nerval

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