Portrait : Noémie Honein
La jeune artiste libanaise Noémie Honein. Son Behance https://www.behance.net/noemie_honein_4193f9
Carnet d'Alain François — ISSN 2823-8141 — 1999-2025 photos, livres, arts, humeurs
La jeune artiste libanaise Noémie Honein. Son Behance https://www.behance.net/noemie_honein_4193f9
Togui (Samir Toudji), auteur algérien, dans son atelier de la maison des auteurs, Angoulême Son blog : http://toguiland.tumblr.com EnregistrerEnregistrer
Je suis un peu partout dans le nouveau catalogue qui fait le bilan tous les cinq ans de la résidence d’auteur « La maison des auteurs », à Angoulême : « Cinq ans de résidence 2012-2017 ». J’y suis pour mes photographies qui illustrent largement les différents chapitres. J’y signe aussi un court texte (bilingue) sur mon projet photo et j’y … Continue reading Dans la maison des auteurs
Sadri Khiari, peintre (il pratique la peinture sous verre), dessinateur de presse et bédéiste, pendant sa résidence à la maison des auteurs, Angoulême. Son site perso : https://www.sadrikhiari.com Son tumblr : http://sadri-khiari.tumblr.com
Lisa Frühbeis utilise l’une de mes photos pour la page contact de son site, là, ici, juste en haut à droite : https://lisa-fruehbeis.squarespace.com/new-page-4/
Lampiste, le minizine A6 de Matthias Lehmann, continue son petit bonhomme de chemin avec comme compagnons de route Lucas Méthé en couverture et Sophie Darq et Isao Moutte en guest… Dans « Pourquoi je ne porte pas de pyjamas », ce Lampiste #3, Matthias Lehmann nous raconte un souvenir d’enfance incontinent, tendre, cruel et très drôle, comme … Continue reading Lampiste N°3 Pourquoi je ne porte pas de pyjamas
J’adore les dessins de François Henninger, que j’ai croisé trop rapidement aujourd’hui au café…
Le jeune auteur Quentin Rigaud sur son stand pendant le FIBD 2018
Corben, c’est du pulp vulgos et facile, outrance corporelle, comme les expansions de César, habillant du vide sémantique, voire quelques rabâchages de genre. Comme je ne suis pas un bourgeois, je n’ai a priori rien contre. Et dans l’adolescence, Corben a fait partie de ces choses que je désirais « visuellement », avant d’en être déçu à … Continue reading Corben, c’est du pulp vulgos et facile
J’ai découvert, sérendipité, qu’un remarquable réalisateur britannique était mort dans mon village en 1994. Je suppose, puisqu’il y a une forte communauté britannique dans les campagnes environnantes, que Lindsay Anderson passait ici une vieillesse au vert. Il fût essentiellement documentariste, mais pas seulement, car il est en particulier le réalisateur de l’extraordinaire trilogie voltairienne (référence … Continue reading Le fantôme de Lindsay Anderson dans mon jardin
Après le Goncourt qui s’est dispensé des euphémismes du roman bourgeois, je traverse l’Été des charognes, parce que solstice d’hivers, un premier livre de Simon Johannin chez Allia. Ça commence entre le pays de la merde de Jourde et la guerre des boutons, ça finit après Bukosvki en post-punk lyrique, avec ce tour de force d’adapter l’écriture … Continue reading l’Été des charognes
Golo m’a offert le très bel Ex-libris que lui a édité la Librairie Super Héros. On y voit Istrati, l’écrivain, fuyant la police d’Alexandrie pour continuer sa lecture.
Je me rends bien compte que je ne serais jamais en phase avec les lectures de mes contemporains, car je suis bien incapable de lire aujourd’hui les distractions de mon adolescence (les trucs qui ne me font plus ni rêver ni peur) et pas plus tous ces déclinistes que lisent mes amis. Je ne lis … Continue reading Le déclin de la littérature (encore ?)
« Plis, croûtes, et zones humides », thème et sous-titre de l’Opus 4 de Chambre pâle, l’élégant artzine collectif A5 entièrement sur papier léger avec dessins légers, textes maniérés ou photos intenses. Une revue courageusement généraliste, donc, au contenu inégal, comme tous les collectifs. Couverture de Jérémy Boulard le Fur. 63 auteurs, 92 pages… Prix libre chez l’éditeur, MicrOlab … Continue reading Chambre pâle #4
J’ai vu avec intérêt « Le jardin des délices », curiosité cinéphilique de 1967. D’un même élan j’ai écouté le réalisateur Silvano Agosti (bonus DVD), qui se situe entre Éric Rohmer pour la pauvreté assumée des moyens techniques, Jean-Pierre Mocky pour l’aspiration (ou obligation) à l’autonomie et Joël Séria pour les promesses sabotées par des contingences extérieures. Il partage avec les … Continue reading Le jardin des délices de Silvano Agosti
Cette manie qu’ils ont tous d’admirer des gens qui ne pensaient pas comme eux s’ils ont l’élégance d’être mort depuis suffisamment longtemps… et de systématiquement mépriser leurs contemporains (sans les connaître)… Avant hier, lu un autre essai nauséabond de Christoper Lasch, ramassis de conneries (« Culture de masse ou culture populaire ? »), et ce matin, j’entrouvre l’un … Continue reading L’éternelle réactionnaire, toujours
Le monde à l’envers ! Me retrouve obligé de me dépoussiérer de la lecture poussive d’un pseudo marginal sulfureux en lisant le dernier prix Goncourt ! Mais ! Mais voilà. L’ordre du jour d’Éric Vuillard, chez Actes Sud, m’a réveillé et surpris par sa simplicité et son premier degré. Je ne m’attendais pas à « ça » d’un Goncourt, et … Continue reading L’ordre du jour, le notre
Vu le « Maryline », De G. Gallienne… quelle erreur ! Début affligeant, perplexité, et au bout d’un quart d’heure seulement, rire nerveux devant le comique involontaire, devant l’insistance à nous bien faire comprendre qu’il est en train de « filmer » une « gonzesse » (au passage au charisme d’huître et à l’insupportable perruque, même si je suppose qu’un réalisateur juste … Continue reading Maryline en toc