J’avais à peine changé le nom de cette première feuille que j’ai visualisé mes genoux écorchés, et les rustines kitchs qu’on achetait en mercerie pour réparer les pantalons…
Non, après une semaine à me demander comment j’allais enfin commencer à écrire dans ce nouveau « contenant », dont j’ai longuement mûri la structure. Je me suis enfin décidé à ça, comme ça vient, et d’y poser une première photo intitulée « feu », qu’on prendra comme on veut.
Pourquoi ? Pour ne pas commencer par évoquer la mort de Bernard. Pour ne pas raconter l’enterrement, et l’infini cortège des mains caressant le bois du cercueil.