Je refuse le symptôme. La notion même de symptôme. Je considère qu’il y a toujours quelque part le moyen de la communication. Au-delà des symptômes, au-delà de la folie de chacun, et qu’on peut transcender ses propres automatismes, ses défenses instinctives, ses asservissements mentaux pour accéder à l’autre.
Les manigances mentales ont un effet très superficiel sur moi. Est-ce mon narcissisme qui me garantit contre ça ? Je ne sais pas… Mais voilà
Toujours cette position volontariste
Publié le 4 avril 2014