Chez « le promeneur », on se pique de bibliophilie et on édite étroit un livre à l’italienne… Massacrant ainsi les dessins et la lecture…
Dommage, car sinon, c’est une histoire d’Edward Gorey, et donc c’est délicieux. Le trait chancelant miraculeux porte élégant l’histoire absurde et gentiment délirante. Edward Gorey, c’est parfait, et ici si mal édité. Re-dommage.