Trouble, comme la boue dont on fait les golems. J’attends avec impatience que quelque chose me lave la tête, que l’horizon se dégage, que les larmes, comme la pluie, lavent l’atmosphère des scories empoisonnées.
J’aime voir net les collines de l’horizon. Je me souviens d’en avoir peint, à l’adolescence, des idéales, pour une cousine de mon père. J’avais tenté, à la gouache, de retrouver le duveteux des arrières plans des riches heures…