C’est bizarre ce que fait Volodine (dans Songes de Mevlido), ce mélange indescriptible, cette sauce étrange, cette salade littéraire qui à force de réminiscences remuées en devient nouvelle, expérience gustative renouvelée… On ne sait pas dans quoi on est, dans une haute littérature, des phrases superbes, ou un patchwork des imageries populaires de la fin du XXe remixé à la sauce uchronie. On sait pas, mais on s’immerge profond, les arrières goûts flirtant avec l’inconscient, et c’est… agréable.
La pluie murmurait des prières sorcières
Publié le 24 février 2008
Les herbes folles de Volodine | BONOBO.NET
[…] et des chants sorcières, étonnamment bien, surpris d’y être bien. Plus stable que dans les songes de Mevildo, plus fluide, plus doux aussi. J’y suis bien pour une raison fondamentale, plus encore que […]