En parlant de cette bibliothèque, autre axe de ma vie. Le texte qui m’a surement le plus marqué, celui auquel je pense souvent est un texte important, pour moi une sorte d’ancêtre de tout texte sociologique : Les ragionamenti de l’Aretin. Ce serait abusif de qualifier ce texte de féministe, mais l’Aretin passe en revue, avec humour, les trois seuls rôles que pouvaient tenir la femme à son époque. Et je ne l’ai pas relu depuis, mais si je me souviens bien, en décernant la place la plus vertueuse à la prostituée. C’est un texte jubilatoire, que je devrais relire, même si j’ai peur en le relisant de détruire ce qu’il a pu représenter pour moi.
Et voilà, je me précipite sur ce blog, maintenant, collant un bout ici ou là, sans me relire beaucoup, et en jetant presque ce que j’y publie, de manière à ne pas revenir en arrière. Ne pas refaire ce que j’ai déjà fait. jeter, et avancer, vite, sans repentir, ou le moins possible.