Cette nuit, j’ai rêvé que je traversais le grand couloir du pouvoir d’une humeur si guillerette que je sifflotais. Alors que d’enthousiasme je siffle un peu fort, je me retourne et découvre à l’autre extrémité, par un effet de zoom onirique, une petite pancarte « silence ».
À un autre moment de la nuit, ou peut-être à la suite, je vois le visage de Céline qui s’avance vers moi, si proche que je ne vois presque que son regard, très doux, comme le regard du chat quand il est très content. Elle s’approche encore et m’embrasse.
Je me réveille.