Ça marche. Ici, j’arrive souvent vide. Ce qui montre bien que ça marche. Je me suis donc débobiné, et cette saleté de besoin d’expression finit parfois par se tarir. Quel bien à se sentir vacant, vide, n’ayant enfin plus rien à dire, ayant enfin trouvé le bout de cette logorrhée maladive, et ouf, acceptant ce billet ridicule qui se contredit sans honte !
Vide
Publié le 26 novembre 2012