l’Été des charognes
Après le Goncourt qui s’est dispensé des euphémismes du roman bourgeois, je traverse l’Été des charognes, parce que solstice d’hivers, un premier livre de Simon Johannin chez Allia. Ça commence entre le pays de la merde de Jourde et la guerre des boutons, ça finit après Bukosvki en post-punk lyrique, avec ce tour de force d’adapter l’écriture … Continue reading l’Été des charognes